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Prise en charge holistique et intégrée des survivant·e·s de VBG au Bénin, CeRADIS et l’ADS renforcent le plaidoyer national à travers un café-débat.

C’est pour sensibiliser les communautés sur la prévention des violences basées sur le genre que la section béninoise de l’Alliance Droit et Santé (ADS) constituée de l’ONG le BARCAR, du Scoutisme béninois et du CeRADIS qui assure le lead du réseau au niveau national a initié un café-débat ce Vendredi 21 novembre 2025 à l’hôtel La Casa Cielo de Cotonou.

Cet espace convivial de parole libre, constructive et intergénérationnelle a réuni différents acteurs judiciaires, têtes couronnées, personnalités religieuses, journalistes, membres de la société civile, ainsi que des représentants de partenaires techniques, financiers et des structures étatiques.

Du premier panel de ce café-débat consacré à « La prise en charge juridique des VBG au Bénin » et animé par Maître Alexandrine Saïzonou-Bedié, on peut retenir que le Bénin dispose d’un arsenal juridique solide mais que la prise en charge des survivant.e.s est encore fragile. C’est pourquoi, l’ADS Bénin met un accent particulier sur l’extension des Centres Intégrés de Prise en Charge des Victimes et Survivantes de Violence Basée sur le Genre (CIPEG-VBG)

Sur le second panel porté sur « les VBG vues par la religion », c’est l’imam de la mosquée d’Abomey-Calavi Agori, El-Hadj Abdoul Latif Ekounlabi qui a retenu le souffle de l’assistance par des versets coraniques pour montrer qu’aucune religion ne prône la violence et recommander aux responsables religieux de bien s’informer pour mieux sensibiliser leurs communautés et contribuer à la lutte.

« TOUS UNIS CONTRE LES VBG »

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